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Audio 1 |
IN D
Résumé
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ARANDEL |
2010 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
149 |
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Audio 1 |
DRUM AND BASS ARENA 20 YEARS (1996-2016) |
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2016 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
158 |
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Audio 1 |
NEW ATLANTIS
Résumé
Sur huit titres, New Atlantis oscille entre techno rapide et kaléidoscopique, drones multicouches et instrumentation acoustique, fusionnant pour la première fois les productions deep dancefloor de Sollmann en Efdemin avec ses projets d'art sonore et musique expérimentale. Ces derniers incluent la performance de Monophonie d'inspiration Harry Partch de 2017 et l'EP Panama / Suez de 2018 avec Oren Ambarchi et Konrad Sprenger. Longtemps attiré par les traditions musicales utopiques, Sollmann s'est inspiré pour New Atlantis du roman inachevé du même nom de Francis Bacon, du XVIIe siècle, qui décrit une île fictive consacrée au progrès social par la synthèse de l'art, des sciences, des technologies et des modes. Dans l'histoire, Bacon imagine des " maisons du son " futuristes, qui contiennent des instruments de musique capables de recréer l'intégralité des sons de l'univers ; une prophétie de 400 ans sur la réalité sonore numérique d'aujourd'hui. A travers l'objectif de Sollmann, la vision de Bacon oscille et coule pendant plus de 50 minutes à différentes vitesses et couleurs, émergeant comme une tapisserie de différentes traditions musicales utopiques - à travers des lignes de synthé gonflantes, la techno de Detroit précoce, des percussions en bois résonnant, la transe, les orgues bourdonnantes, les dulcimers, les guitares électriques, la vielle à roue, la simple intonation, la poésie, les hymnes et le murmure de voix.
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EFDEMIN |
2019 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
154 |
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Audio 1 |
OUR LOVE |
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CARIBOU |
2014 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
146 |
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Audio 1 |
BEM BRASIL |
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FATBOY SLIM |
2014 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
144 |
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Audio 1 |
THORA VUKK
Résumé
En s’émancipant d’une techno réductrice, Robag Wruhme tente, tâtonne, observe, cherche. En choisissant de n’attraper ni les jambes, ni la tête, il vise directement le coeur. Fait trop rare dans la nébuleuse répétitive techno, il arrive à nous faire apercevoir une lumière douce-amère, à nous faire croire que cette musique de club peut sporadiquement devenir de la musique de chambre. En s’aventurant vers des contrées surprenantes, Robag rejette, d’un plat de la main, la facilité des constructions prédéfinies. La musique concrète de Luc Ferrari devient un partenaire évident. Le moindre bruit pré-enregistré, une fois agencé dans un édifice brinquebalant, convoque nos souvenirs, nous plonge dans une nostalgie en polaroïd.La techno éthérée de Prognosen Bomm met en lumière la photo de la pochette. On s’imagine, tel ce gosse, en train de saluer naïvement les voitures filant sur une autoroute est-allemande, se demandant où elles vont, en s’inventant des histoires. La musique de Robag est triste, nous prend à la gorge mais avec un gant de velours. Quand arrive la nappe cinématographique de Pnom Global, on est saisi par une bouffée mélancolique. Cette douce prise d’otage par des cordes déchirées donne envie de suivre Gena Rowlands dans un film de Cassavetes. En rendant le quotidien romantique, Robag nous fait entrevoir sa notion du bonheur. Le piano ne sert pas uniquement à rehausser les émotions, il devient alors un repère. C’est la répétitivité de la rythmique qui sert de métaphore du quotidien. Répétitivité à l’allure presque nonchalante, insufflant une certaine résignation. Seules les interludes tentent de se poser en énigmes et ressemblent à d’obscurs resets visant à rattraper nos songes. La contemplation surannée prend alors des allures de spleen et on est saisi par un flot d’émotions lorsque s’achève l’album. Thora Vukk est un objet musical fragile, précieux. Thora Vukk est une petite merveille.
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WRUHME ROBAG |
2011 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
131 |
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Audio 1 |
FALL TO PIECES
Résumé
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TRICKY |
2020 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
146 |
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Audio 1 |
SKILLED MECHANICS
Résumé
Chaque nouvel album de Tricky est un événement. Rares sont aujourd’hui les artistes indépendants dont les sorties sont à ce point importantes. Il y a un univers musical Tricky, bien au-delà d’un style. Une démarche, une authentique expression artistique et engagée. Un charisme inouï, une voix désormais quasi inexistante, et qui, par un paradoxe inexplicable, n’en est que plus présente, belle et puissante.Tricky est maintenant une ombre chantante, un râle sublime, une diction d’outre-tombe qui distille ses paroles en retrait, avec en superposition, ou à la suite, d’autres voix. Ce qui renforce la dimension fantomatique de sa musique. Méta-hip-hop, les chansons de Tricky sont des joyaux urbains, traversés de toutes les énergies, de toutes les contradictions des mégapoles tentaculaires.De plus en plus hantée, sa musique vibre, respire mal, étouffe et s’immisce plus qu’elle ne s’écoute. On retrouve ainsi dans ÀSkilled MechanicsÁ les suffocations majeures, les rythmes heurtés, les inflexions inquiétantes, mais cela n’a plus qu’un lointain rapport avec le trip-hop des origines. Désormais Tricky est un maître totalement libre, explorant le minimalisme comme personne, capable de faire naître un tableau sonore avec quelques battements et des menaces. Il demeure ce chef d’orchestre démoniaque, multipliant les collaborations, injectant des fragments d’électro, de soul, de rock dans ses constructions musicales.Impossible d’aborder un album de Tricky sans évoquer l’incroyable richesse sous-jacente de ses compositions. Véritable creuset de styles et de courants, la musique de Tricky est aujourd’hui l’une des plus brillantes et des plus importantes qui soient. L’homme porte un idéal menacé, une vision du monde et de l’art cosmopolites ancrée dans une modernité sans concession, d’une acuité désormais si précieuse.
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TRICKY |
2016 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
138 |
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Audio 1 |
INTO THE GREAT WIDE YONDER |
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TRENTEMOLLER |
2010 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
146 |
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Audio 1 |
ARTIFAKTS BC |
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PLASTIKMAN |
1998 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
137 |
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Audio 1 |
DISCIPLINE IN ANARCHY
Résumé
Le facétieux Français dévore avec gourmandise quatre décennies d’electro. Le 2 avril 2011, quand le Madison Square Garden a résonné du triste bruit des ballons qu’on éclate au terme d’une grosse fiesta, en l’occurrence celle donnée par James Murphy pour le démantèlement de son LCD Soundsystem, nous n’avons versé aucune larme. Parce que nous connaissions depuis quinze ans en Rubin Steiner une âme soeur au désormais introuvable boss du label DFA. A ceux qui jugeraient la comparaison trop réductrice pour ce soldat méconnu de la French Touch, on répondra qu’elle le serait si la carrière du New-Yorkais se résumait à sa seule poignée de tubes disco-punk option cow bell. Or, si l’on kiffe autant la musique de son homologue tourangeau, c’est parce qu’elle est comme la sienne un éloge de la liberté, de mouvement ou d’expression. Discipline in Anarchy est à ce titre particulièrement éloquent. Steiner y balaie, comme il l’a fait auparavant avec le rock, le funk et le hip-hop, tout le spectre de la musique électronique (krautrock, techno, acid house±) avec une décontraction et un sens du tempo des plus admirables. (Les Inrocks)
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STEINER RUBIN |
2012 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
140 |
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Audio 1 |
THE DARK SIDE OF THE MOOG, VOL.2
Résumé
Après plusieurs années d'absence des bacs, MIG-Music réédite les 4 premiers volumes de la célèbre collaboration entre Klaus Schulze et Pete Namlook : "The Dark Side Of The Moog".
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SCHULZE KLAUS |
1993 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
158 |
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Audio 1 |
THESE SYSTEMS ARE FAILING
Résumé
La discographie comme l’art de Moby ne se limite évidemment pas à son album Play de 1999 et ses tubesques singles Honey et Natural Blues. Chaque nouvelle livraison du New-yorkais chauve le rappelle. Et ce "These Systems Are Failing" à le premier qu’il signe sous le nom Moby & The Void Pacific Choir à en est donc la preuve supplémentaire. Un scotchant treizième opus qui mélange guitares saturées, beats techno stakhanovistes et synthés eighties dans un tsunami hardcore, joliment oppressant. Entre rock indus’, techno et new wave gothique, Moby signe ici un traité qui rappelle furieusement certaines de ses chansons agressives figurant sur son album "Animal Rights" de 1996 (l’esprit de "Come On Baby", "Someone To Love", "Heavy Flow" et de "You" n’est pas loin). Les aficionados de Play devront passer leur chemin. Les autres, prêts à dévaler ces violentes montagnes russes, vivront une nouvelle expérience intense signée par un quinquagénaire tout sauf assagi. ¸ CM/Qobuz
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MOBY |
2016 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
156 |
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Audio 1 |
MOON (THE AREA OF INFLUENCE)
Résumé
"Il y a des influences de la Lune que nous pouvons détecter, mesurer et documenter en tant que faits scientifiques. Si ces explications sont perçues comme rationnelles, elles devraient soulever des questions sur la possibilité d'autres connexions mentales et métaphysiques invisibles que les humains ont, non seulement avec la Lune, mais avec tous les autres corps célestes dans et en dehors de ce système solaire. D'un autre côté, alors que nous reconnaissons que notre Soleil nous donne la lumière et une durée de vie, ce qui fait une force encore plus grande dans le Cosmos, peut-être l'obscurité [ou l'absence de tout] nous affecte. Si nous considérons la Lune comme une composante d'une vaste configuration de parties reliées entre elles, alors un sens intuitif pourrait nous amener à mieux comprendre à quel point notre relation est profonde." - Jeff Mills
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MILLS JEFF |
2019 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
143 |
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Audio 1 |
OUTRUN
Résumé
3 EPs sortis chez Record Makers ont révélé Kavinsky comme un des artistes les plus talentueux de la scène électro française. ''Teddy Boy'', ''1986'' et ''Nightcall'' (tube emblématique de la BO du film ''Drive''. Kavinsky, cest aussi la première partie monde des Daft Punk sur la tournée ''Alive 2007''.
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KAVINSKY |
2013 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
160 |
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Audio 1 |
LISTEN |
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GUETTA DAVID |
2014 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
232 |
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Audio 1 |
CREATURES
Résumé
Deux ans après "Tohu Bohu", magnifique missive écrite de Berlin où il est désormais installé, Erwan Castex alias Rone dessine des Creatures. Des créatures évidemment électroniques mais pas pour autant froides et désincarnées. Le jeune gourou français a fait de ce troisième album un nouveau trip sensoriel assez bluffant. Comme toujours avec Rone, c’est un disque à tiroirs qu’il propose ici. Un projet vraiment dense qui s’apprivoise au fil des écoutes et sur lequel le français a convié des invités de choix : François Marry sans ses Atlas Mountains, le violoncelliste atypique Gaspar Claus, le pianiste lui aussi insaisissable Bachar Mar-Khalifé, Bryce Dessner de The National, le trompettiste avant-gardiste japonais Toshinori Kondo, Sea Oleena ou bien encore un certain Etienne Daho± On nage ici dans une mer d’huile électronique d’un titre à l’autre. Entre bien-être et crispation, perte de connaissance et angoisse. Rone rend surtout fluide toutes les transitions et homogénéise ses diverses escales. Creatures à qui porte assez bien son nom à est un opus d’apparence apaisé. Mais la richesse de ses reliefs en fait surtout un grand disque qui, une fois apprivoisé, procure des sensations merveilleuses. Rarement la musique électronique n’avait autant pris forme humaine± ¸ MD/Qobuz
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RONE |
2015 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
173 |
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Audio 1 |
BUDDHA-BAR, VOL.17 |
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RAVIN |
2015 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
161 |
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Audio 1 |
TOHU BONUS |
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RONE |
2013 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
129 |
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Audio 1 |
MIGRATION
Résumé
C’est de la Cité des Anges où il réside depuis peu que Simon Green a posté sa nouvelle missive intitulée "Migration". Le soleil californien n’a pas brûlé pour autant l’inspiration du cerveau de Bonobo. Au contraire ! Le sixième album du très doué producteur et musicien britannique semble même s’enrichir côté textures sonores. L’influence de Bonobo sur la scène électronique de ces dix dernières années a beau être impressionnante, Green continue à composer la vraie fausse B.O. d’un monde sans frontière avec la même énergie qu’à ses débuts il y a déjà plus de 15 ans. Une bande son éclectique passant de la mélancolie à la furie, du soyeux au joyeux, bref proposant une large palette de sensations que Mister Bonobo décrit avec simplicité : « La vie a des hauts, des bas, des moments forts et des moments calmes, certains beaux, d’autres laids. La musique est un reflet de la vie. » Un Green pas si solitaire que ça puisqu’il a convié à ce "Migration" des complices tels que Rhye (Break Apart), Nicole Miglis de Hundred Waters (Surface), le groupe marocain Innov Gnawa (Bambro Koyo Ganda) et l’Australien Nick Murphy alias Chet Faker (No Reason). On trouve même de tout sur la planète Bonobo ! Un sample de la voix de Brandy, des cordes, des guitares, des boucles de piano, la voix du maître de la folk music Pete Seeger, sans oublier des bruits d’un ascenseur de l’aéroport de Hong Kong, de la pluie enregistrée Seattle ou le moteur d’un bateau capté à New Orleans ! Un album vraiment dense à (ré)écouter à l’infini. ¸ MD/Qobuz
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BONOBO |
2017 |
MUSIQUE ELECTRONIQUE |
222 |