49 Document (s)

Oriom est le projet solo de Rainer von Vielen. Rainer travaille sur ces voyages spatiaux depuis de nombreuses années. Pendant le confinement, le moment de laisser une idée saine devenir un album était enfin arrivé. Chaque chanson est composée dans un accord planétaire spécifique. La fréquence de la révolution de la planète autour du soleil, élevée en octaves jusqu'à une plage audible. Des battements qui résonnent avec ces fréquences. C'est le coeur de cet album.Ainsi, le voyage commence sur Mars, se poursuit jusqu'à l'année platonicienne de la planète Terre, puis s'envole vers Vénus et prend un jour terrestre, pour ensuite tourner le long de la fréquence annuelle de notre planète natale (432 Hz) pendant 28 minutes. Finalement, l'album se clôt sur la longueur gravitationnelle de notre soleil.Rainer a découvert il y a longtemps les riches profondeurs du chant guttural et a trouvé une force épanouissante et émouvante dans cette forme de chant. La respiration contrôlée, qu'il trouve surtout dans la méditation, est la source du son. La source de guérison. Il trouve la combinaison de moyens archaïques de production sonore et de paysages sonores électroniques très fascinante. Pour lui, harmoniser ces mondes tout en résonnant avec les planètes de notre système solaire est un miroir de l'unité.

Travaillant principalement à partir de ses propres enregistrements, Ash traite chaque sample comme de la matière physique qu'il déforme, étire, façonne ; puis il les mêle à une musique classique : il met à profit son background de musique occidentale ou persane, appris au cours de ses années au Conservatoire de Musique de Téhéran. Il en résulte des oeuvres originales et uniques. Pour qualifier ce procédé Ash dit qu'il s'agit de « trouver de la géométrie dans des sons ». A 30 ans, Koosha a déjà une histoire incroyable, incluant un séjour en prison en Iran à cause de sa musique, ce qui l'a conduit à demander l'asile au Royaume-Uni. Le film primé au Festival de Cannes, "Les Chats Persans", est en partie inspiré par ses mésaventures.

Et dire que le tubesque "I Love U So" a déjà six ans± Cette fois, c’est une certitude : Cassius est vraiment de retour en 2016 ! Le premier single "Action" est une belle ogive nucléaire groovy au possible que le binôme composé de Zdar (Philippe Cerboneschi) et Boom Bass (Hubert Blanc-Francard) a conçu dans un pur esprit Cassius, à savoir un savant mélange de funk, de disco, de house et de hip hop. Et pour rendre l’engin encore plus puissant, deux featurings cinq étoiles sont au coeur de ce nouveau single : Cat Power et Mike D des Beastie Boys. Deux artistes on ne peut plus liés à Zdar puisqu’il avait mixé le Sun de Cat Power en 2012 et le Hot Sauce Committee Part Two des Beastie Boys en 2013. Des invités de marque, ce bien nommé Ibifornia (conçu entre Ibiza et la Californie) en propose d'autres comme, au hasard, Ryan Tedder de OneRepublic et un certain Pharrell Williams ! Un comeback en forme de fiesta furibarde et funky. ¸ MD/Qobuz

Un mois avant de souffler ses (seulement) vingt bougies, Valentin Brunel alias Kungs publie son premier album. Logiquement, ce Layers comprend This Girl, le single qui a porté le DJ et producteur aixois au sommet des charts aux quatre coins du monde, en fait un remix des obscures Australiens de Cookin' on 3 Burners avec Kylie Auldist au chant. Surtout, un hymne qui donne bien le ton d’un disque en phase avec certains canons d’Ibiza en 2016. Plus sensuel que bastonneur, Layers nourrit sa house d’ingrédients tantôt soul, souvent pop et parfois world (Kungs n’a pas ouvert pour les shows d’un certain David Guetta pour rien) au point qu’on ne sache soudainement plus à quel endroit de la planète on se trouve ! Mais la musique de Valentin Brunel est avant tout une ode à la liberté. Tout oser musicalement est le vrai crédo de cet album assez joyeux et puissamment hédoniste. Un opus léger comme seuls les bidouilleurs de sa génération savent en concocter. Et puisque plus on est de fous, plus blablabla, Kungs a convié à sa fiesta électronique le chanteur des Kooks Luke Pritchard,, Jamie N Commons, Ritual, Wolfgang, Tillie, Freia, Lune, Ephemerals, Richard Judge et la sensuelle Rae Morris. ¸ CM/Qobu

Cette année, le très attendu mix Live at Cocoon Ibiza est piloté par le légendaire Luke Slater sous son apparence Planetary Assault Systems. En tant que Planetary Assault Systems, le titan britannique Luke Slater a constamment tracé un plan pour l'avenir de la techno. En tant qu'interprète live, c'est un visionnaire qui fusionne le minimalisme, le cyborg funk accrocheur et les paysages sonores cinématographiques qui vous emmènent vraiment en voyage. Il l'a fait une fois de plus en juillet dans le cadre de la saison du 20e anniversaire de Cocoon, et les résultats sont maintenant disponibles sur CD pour nous faire revivre la magie. Au cours de quatre-vingts minutes envoûtantes, Slater captive par ses images de science-fiction évocatrices et son minimalisme mélodique de grande classe, passant en douceur de moments d'intensité drum-funk à haute pression à des passages spirituels de son cosmique et de retour. En cours de route, il fouille dans son catalogue pour servir des vieux morceaux dorés et des morceaux plus contemporains, et le tout se fond dans un ensemble intemporel qui explore les contours de la techno avec beaucoup de style et de substance. Débutant sur Cocoon avec une apparition rare en dehors des labels habituels de Slater, Ostgut Ton et son propre Mote Evolver, une sortie 12" tombe à l'unisson avec le mix incluant quatre productions Planetary Assault Systems : D'un côté, RAWW et RUN sont des versions studio exclusives, tandis que de l'autre, des versions live de Desert Races et Give It Up avec le saxophone live de Tim Ower, offrant certains des meilleurs moments de la techno, tandis que le mix lui-même est un témoignage essentiel de la nature prospective non seulement de Cocoon Ibiza, mais aussi de Luke Slater lui-même. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Il est lartiste allemand le plus titré de tous les temps à létranger et est également au sommet des charts de diffusion en Allemagne avec 14 succès n? 1 à ce jour. Bien sûr, nous parlons de Robin Schulz. Le DJ-producteur superstar est un artiste de tous les superlatifs et lannonce de son nouvel album est donc automatiquement un événement. Cest le 25 août 2023 que sortira PINK, le cinquième album de Robin Schulz et le successeur de IIII, sorti en 2021. Déjà dans deux semaines, le 14 juillet, vous pourrez vous attendre le nouveau single Smash My Heart.PINK contient 17 titres au total, y compris les singles précédemment sortis Killer Queen avec FIL BO RIVA, Young Right Now avec Dennis Lloyd, Sweet Goodbye, On Repeat avec David Guetta, Sun Will Shine avec Tom Walker et Somewhere Over the Rainbow What a Wonderful World avec Alle Farben & Israel Kamakawiwoole (voir la liste des morceaux ci-dessous).Robin Schulz commente : Bonne nouvelle ! Mon cinquième album studio PINK sortira en août. Jai été sur la route pendant trois ans, recueillant linspiration et les émotions et me plongeant dans le travail en studio. Le résultat est PINK , un album qui représente Passion, énergie positive et créativité. Cest une fusion de mes racines de DJ avec de nouveaux éléments frais et vous emmène dans un voyage émotionnel tout en écoutant. Restez à lécoute et positif !Les rêves peuvent devenir réalité - sil y a une preuve de cela, cest lhistoire de Robin Schulz. Né et élevé dans une ville du nord-ouest de lAllemagne de 160 000 habitants avec un facteur wow plutôt médiocre, il est devenu une sensation mondiale. Voyager sans arrêt à travers lhistoire du monde pour hypnotiser le public avec ses performances électrisantes dans des clubs bondés et les plus grandes scènes de festivals comme Tomorrowland, Parookaville, Ultra Music Festival ou sa résidence dété annuelle à Pacha, Ibiza. La fabuleuse success story de Schulz a commencé en 2014, lorsquil sest imposé pour la première fois au sommet des charts internationaux avec son remix de Waves (feat. Mr. Probz) et un peu plus tard avec Prayer in C (feat. Lilly Wood & The Prick). a célébré la percée mondiale. Cela a été suivi en 2015 par Sugar (feat. Francesco Yates) - une chanson qui a récemment fait son entrée dans le Billions Club de Spotify (1 milliard de streams).

Ce 5ème album est un véritable tournant dans la carrière de l'artiste français. Figure de proue de l'électro sensible et poétique, Rone a su conquérir un public nombreux et fidèle tout au long de sa carrière. partir d'une carte blanche que lui a proposé le Théâtre du Châtelet à Paris, il a conçu ce disque autour d'un spectacle mis en scène et chorégraphié par le collectif (La) Horde, accompagné de 20 danseurs du Ballet National de Marseille. Cette nouvelle forme de collaboration lui a permis d'explorer ce qu'il y avait de plus sincère et de plus profond dans sa musique. Nourri des débats autour de la collapsologie et du changement climatique, Room with a view donne matière à penser l'une des plus grandes urgences de l'humanité. Rone éclaire ce qui fait sa signature d'une nouvelle lumière, d'un nouveau jour, contentant aussi bien ses fans de la première heure que les amateurs d'electronica.

Ils sont noirs, sillonnent les quartiers dans de grosses voitures de gangsta et paradent pour Mardi gras en somptueux costumes de chefs indiens : bienvenue dans La Nouvelle-Orléans des gangs afro-amérindiens, fiers descendants des esclaves affranchis et des premiers natifs de Louisiane, dont la culture perpétue l’esprit de résistance de deux peuples opprimés. Nola is calling, troisième volume d’une série discographique et documentaire dédiée aux villes-monde, en propose une bande-son visionnaire sous une codirection à trois têtes (Elodie Maillot, Céline Frezza et David Walters).D’un côté, celle-ci remonte aux sources indigènes du jazz avec Big Chief Jermaine et Big Chief Romeo, dont les murmures rituels calés sur l’ancestral chant à réponse installent une tonalité mystique. De l’autre, elle refait en sens inverse le voyage des ðanciens esclaves pour convoquer leurs divinités yoruba sur les percussions vaudoues du Béninois Bonaventure Didolanvi Ä de l’Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou. Additionné d’un violoncelle européen et d’électro, le tout s’enracine dans le hip-hop New Orleans de Ha Sizzle, figure de la « Bounce music ». Cette soul incantatoire au flow (débit) trépidant, qui rappelle les transes urbaines exaltées des ghettos sud-africains, est une claque.

Cinq ans se sont écoulés depuis que Glacial Movements a publié le magnifique album "Wandering Eye" du duo Aria Rostami et Daniel Blomquist, dont les thèmes portaient sur une description des meilleurs endroits pour observer l'espace depuis le plateau antarctique. Un autre pas en avant est représenté par "Still", dont le but est de décrire comment le temps peut changer son mouvement en cas de temps froid." "Still" se compose de quelques enregistrements réalisés au cours de notre première année de collaboration (2015-2016) - le morceau d'ouverture était notre premier enregistrement en studio, tout ce que nous avions fait avant cela était strictement en direct. Tout au long de ce projet, nous avons essayé beaucoup d'approches différentes et nous avons fait un effort particulier pour chaque disque et chaque concert pour qu'il se perçoive différent du précédent. Au cours de cette première année, nous avons principalement cherché à faire des morceaux qui ont été construits sur de longues périodes de temps - devenant généralement plus bruyantes et /ou plus intense - et c'est ainsi que nous avions envisagé "notre son" à l'époque. Cela signifie également que les titres qui étaient plus du côté ambiant traditionnel n'ont pas fait la coupe de notre premier album, "Wandering Eye". Glacial Movements nous a approchés pour une deuxième sortie, nous sommes allés dans une direction différente et les titres que nous avons choisis pour "Still" ont capturé un nouvel esprit dans notre travail qui était à l'origine laissé sur le sol de la salle de montage. Au fil du temps, nous avons commencé à nous aventurer dans de nouvelles idées comme la techno expérimentale, noise et des compositions plus traditionnelles tandis que les titres de "Still" reposaient comme une capsule temporelle. Nous avons sorti plus de musique, élargissant notre son, et "Still", qui était initialement prévu pour une sortie en 2018, a été repoussé davantage à mesure que des conflits sur les calendriers de sortie survenaient. Nous n'aurions jamais pu prédire à quoi ressemblerait le monde en 2021 lorsque ce disque sortira enfin. D'une manière ou d'une autre, grâce à des éléments de hasard, "Still" est enfin publié dans un monde qui a l'impression d'être en pause à bien des égards. La plupart des chansons de "Still" changent avec le temps. Ils ne sonnent pas de la même manière à la fin qu'au début. Ce changement est subtil plutôt que grandiose et au fil du temps, les chansons deviennent complètement nouvelles. Pour les titres des chansons et des albums, nous pensions au temps qui ralentissait ou s'arrêtait par temps froid - à quel point la vie est en pause et à quel point le mouvement est difficile. L'immobilité ressemble plus à un cocon qu'à une hibernation - il y a quelque chose qui change avec le temps - et bien que nous n'ayons aucune idée de ce à quoi ressemblerait une pandémie mondiale ou une politique d'aujourd'hui en faisant ce travail, le monde d'aujourd'hui recontextualise complètement la musique et le le retard dans la libération semble maintenant approprié. "